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Contre la dénaturation du mariage, 36 parlementaires demandent un référendum

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36 parlementaires, dont Jean-Frédéric Poisson, député des Yvelines, Vice-président du PCD et secrétaire National de l’UMP, ont signé une tribune publiée dans Valeurs Actuelles le 25 octobre demandant la tenue d’un referendum sur le projet de loi concernant le mariage et … Lire la suite

Université d’Eté 10 & 11 septembre / Lancement de campagne présidentielle du PCD

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…la première Université d’Eté du PCD, et certainement pas la dernière, qui s’est achevée par un discours de lancement de campagne présidentielle 2012 par Christine Boutin…

Voila ce qui nous a été offert par le PCD à Lyon ce we.

Une phrase simple qui cache pourtant une parfaite organisation conjointe à la fois des équipes de campagne et du PCD, dignes de professionnels de l’évenementiel, des intervenants de qualité, de nombreux participants, tous très bien traités, venant de toute la France, un cadre magnifique… : voici la forme !

Le fond était piloté par Marie-Joëlle Guillaume, directrice des Etudes au sein du PCD : le programme fut très riche en rencontres, tables rondes, débats, animées par des professionnels de la société civile et des personnalités politiques. En voici le détail.

Après nous avoir présenté « le livre blanc » intitulé « Des idées pour demain » qui est une synthèse de tous les travaux effectués par le PCD dans le cadre de l’année Robert Schuman lors d’une dizaine de séminaires organisés tout au long de l’année et repris dans le programme de l’élection présidentielle, Marie-Joëlle Guillaume nous a entraîné vers les tables rondes :

Former et transmettre : Marc Le Bris, instituteur et directeur d’école, écrivain ; Lionel Devic, avocat, président de la Fondation pour l’école ; Hervé Mariton, député de la Drôme, auteur de l’ouvrage « Transmettre pour construire »

Témoins des souffrances actuelles : Bernard Devert, fondateur d’Habitat et urbanisme ; Tugdual Derville, délégué général d’Alliance pour les Droits de la Vie, fondateur d’A Bras Ouverts ; Philippe de la Chapelle, directeur de l’Office chrétien des personnes handicapées

Capitalisme financier, entreprise et respect du travail : Pierre-Yves Gomez, professeur de management stratégique, directeur de l’Institut français de gouvernement des entreprises ; Bernard Vivier, directeur de l’Institut supérieur du travail ; Joseph Thouvenel, secrétaire général adjoint de la CFTC

La famille, un enjeu politique : Antoine Renard, président de la Confédération nationale des AFC et de la fédération des associations familiales catholiques en Europe

Construire une Europe forte : Elizabeth Montfort, ancien député européen

Transmettre la culture française aux jeunes issus d’autres cultures : Jean-François Chemain, agrégé d’histoire, professeur à Vénissieux-les-Minguettes, dans un collège de ZEP de la banlieue lyonnaise

L’état de la France, regards croisés : Rodolphe Clauteaux, écrivain et rédacteur en chef de l’Itinérant, journal de rue ; Bruno Jeanbart, directeur général adjoint de l’institu de sondage Opinion Way et directeur des études politiques et d’opinion ; Fabrice Hadjadj, écrivain, dramaturge et agrégé de philosophie

La France, sa culture, son rayonnement : Jean-Christophe Fromantin, maire de Neuilly, conseiller général, auteur de « Mon village dans un monde global – la place de la France dans la mondialisation », fondateur de Territoires en mouvements ; Xavier Lemoine, maire de Montfermeil, vice-président du Conseil national des villes, porte-parole de Christine Boutin ; Professeur Michel Germain, professeur des universités associé au Celsa (La Sorbonne), fondateur et associé de la société Arctus

Vous le voyez, beaucoup d’intervenant extérieurs au PCD, mais ravis de partager avec nous.

Les Jeunes du PCD nous ont également présenté leurs travaux de l’année, bien souvent réalisés avec les aînés.

L’Université d’Eté s’est achevé par le discours de Christine Boutin, qui a marqué ainsi à la fois la clôture de ce we et le lancement de la campagne présidentielle.

De l’avis de tous, un excellent we à la fois studieux et décontracté, organisé avec brio !

Merci à tous les organisateurs et intervenants !

 

Retrouvez ici le texte du discours prononcé par Christine Boutin en clôture de l’Université

Retrouvez ci-dessous l’intégralité de la retransmission du discours diffusé par LCP (et merci à cette chaîne d’avoir diffusé des images) :

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Voici un autre article de « Lyon Bondy Blog »

Extrait : « Ce week-end se déroulaient à Lyon les premières universités d’été du Parti Chrétien-Démocrate de Christine Boutin où cette dernière rencontra un franc succès. Julien s’y est rendu, caméra au poing !

  ►ici le lien vers la vidéo yahoo.lyon.bondyblog.fr/files//Sequence_01.mp4  
  (interview menée par Julien)

Un rassemblement animé et festif.

 Pour ces premières universités les militants étaient présents. Beaucoup sont venus voir Christine Boutin mais pas que, « Je suis venue car cette université permet de se retrouver tous ensemble, d’échanger, partager nos idées» Anita, 27 ans.

En effet les journées étaient rythmées par des colloques, des forums, des débats avec des intervenants divers mais de qualité sur des sujets «concernant» les Français. Les thèmes abordés étaient variés, cela allait de l’éducation, à l’état actuel de la France, en passant par le capitalisme financier.

Du beau monde était présent pour intervenir, des politiques comme Hérvé Mariton député de la Drôme, Jean-Christophe Fromantin maire de Neuilly, des professeurs comme le Pr Michel Germain, Pierre-Yves Gomez professeur à EM Lyon,  mais également des philosophes comme Fabrice Hadadj, des présidents d’association  Lionel Devic président de la fondation pour l’école ou encore Bernard Devert fondateur d’habitat et humanisme pour ne citer qu’eux, des écrivains Rodolphe Clauteaux entre autre.

L’ambiance  était festive, détendue, et chaque intervention était écoutée avec le plus grand soin, de plus ces universités d’été nous montre que la leader du Pcd et candidate malheureuse aux présidentielles de 2002 fédère autour d’elle. « Je suis au PCD principalement pour les valeurs que Christine Boutin défend, pour moi c’est essentiel. » Thierry, 29 ans.

 Ils étaient nombreux à…. »                                                 La suite [ ICI ]

 

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Article de France Catholique

Extrait : « Alors que les médias étaient focalisés sur les cérémonies commémoratives du 11-Septembre et que, dans une actualité politique chargée, il fallait compter avec l’Université d’été de l’Alliance centriste d’Hervé Morin et Jean-Louis Borloo, celle du Front national de Marine Le Pen, celle de Nicolas Dupont-Aignan… 400 cadres, militants et amis du Parti chrétien-démocrate avaient choisi de participer à la première Université d’été du PCD qui devait se conclure par le lancement officiel de la campagne présidentielle de Christine Boutin.

Des médias, il y en eut quelques-uns de présents durant les deux jours — dont un cadreur et un perchiste du « Petit Journal » de Canal + dont le seul but est de filmer par surprise quelque scène drolatique….  »          La suite [ ICI ]

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La campagne présidentielle est lancée alors si vous souhaitez y participer de quelque manière que ce soit (tant financière que sur le terrain) et vous nous ferez plaisir, 2 adresses de contact pour le Finistère president.delegation29@partichretiendemocrate.fr et delegation29@partichretiendemocrate.fr ;

2 adresses de contact également au niveau du PCD National : contact@partichretiendemocrate.fr et contact@boutin2012.fr

La Bretagne, très bien représentée à l’Université, autour de sa Présidente : Marie Laurent, Domitille Gilardin, Jean-Baptiste Baillet, Marc Berthelot, Marie-Gabrielle Lucas, Emmanuel Le Pannerer, Hubert Bodin

Université d’été du PCD : demandez le programme

Le discours de clôture de l’Université d’été du PCD, prononcé par notre Présidente et candidate à l’élection présidentielle Christine Boutin, sera diffusé en direct sur  LCP – Public Sénat ce dimanche 11 septembre à 11h30

Christine Boutin : «Jamais je ne ferai perdre mon camp»

Christine Boutin, mercredi à Paris.

INTERVIEW par Le Figaro, article du 08/09/2011 – L’ancienne ministre tient l’université d’été du Parti chrétien-démocrate ce week-end à Lyon. L’occasion de lancer sa campagne.

LE FIGARO. – Pourquoi cette difficulté à convaincre que vous serez candidate ?

Christine BOUTIN. – Peut-être parce qu’en 2007 je m’étais ralliée à Nicolas Sarkozy. Mais la situation a beaucoup changé. La crise est grave. Les sujets de société auxquels j’ai consacré ma vie sont fragilisés. Il importe de répondre avec une liberté de ton que seule je peux me permettre, avec des propositions structurelles et véritablement innovantes. Je suis calme, déterminée, sereine. J’irai jusqu’au bout. Notre local de campagne est installé à Levallois, la souscription est lancée et je ne suis pas inquiète pour les 500 signatures. Le PCD possède désormais un large réseau et bon nombre d’élus… La seule chose que je peux vous dire c’est que jamais je ne ferai perdre mon camp. Et j’assume être une candi­date du premier tour.

On vous juge homophobe car vous dénoncez l’assimilation de la théorie du genre à une vérité scientifique…

Je ne vais pas passer ma vie à dire que je ne suis en rien homophobe ! C’est du reste complètement incompatible avec mes valeurs. Concernant la théorie du genre, il faut rappeler que c’est une idéologie développée dans les années 1960 par une Américaine radicale qui fut adepte d’un «féminisme de subversion» et a aujourd’hui changé d’avis… Cette théorie d’ordre philosophique qui nie la réalité biologique de la différence des sexes, sur laquelle notre société est fondée, n’a rien à faire dans un manuel de sciences. Discutée comme une théorie en cours de sociologie, lors d’un débat en philosophie, oui ; présentée comme une vérité biologique, non. Parents et enseignants doivent se défendre contre la confusion dans laquelle nos jeunes sont plongés.

Sur le plan économique, vos propositions sont plutôt à gauche…

Je défends une droite sociale et humaine dans la ligne de la démocratie chrétienne de Robert Schuman, convaincue que le degré d’humanité d’une société se mesure au sort qu’elle réserve aux plus faibles. Or aujourd’hui, si le moteur de notre ­société reste l’argent et l’individu, nous sommes arrivés à un point de rupture. Le 11 septembre 2001, nous avons assisté à une attaque symbolique contre le capitalisme. Dix ans après, ce capitalisme ­s’effondre totalement. Au cours de notre université organisée à cette date anniversaire, nous nous interrogerons sur ce que nous voulons comme société pour ­l’homme. Une économie au service de l’homme dans laquelle il n’est pas une simple variable d’ajustement.

Vous souhaitez la fin du capitalisme ?

Le capitalisme est arrivé à son terme et doit être refondé sur des bases nouvelles. Voir des écarts de salaire de 1 à 150 est irresponsable, et le peuple, au sens souverain du terme, ne le supporte plus. Autant il est juste qu’un responsable soit très bien payé, autant l’idée de mettre une limite me semble une nécessité citoyenne. Comme me semble nécessaire d’assurer à chaque Français, depuis sa naissance, un revenu de base allant de 200 à 400 euros, pour renforcer le sentiment d’appartenance à la nation et le lien social…

Que dites-vous de la démondialisation ?

Cette idée ne me séduit pas. La mondialisation est inévitable, mais il faut aller vers l’universalisation du monde : l’acceptation des différences de culture avec un objectif transversal de justice…

Que pensez-vous des prières des musulmans dans la rue ?

Une majorité de musulmans vivent leur foi dans les mosquées ou chez eux. D’autres non, qui peuvent être excessivement dangereux et utiliser la religion à des fins temporelles de prise de pouvoir. Ces agitateurs doivent être combattus avec rigueur. Les chrétiens ne prient pas dans la rue sans autorisation préfectorale.

Jean-Christophe Fromantin vient de créer son propre parti. Des regrets ?

Le maire de Neuilly-sur-Seine, qui a un vrai talent et que j’estime, fonde sa réflexion sur l’aménagement du territoire. Il a compris qu’il lui fallait une structure propre pour exister. Pour autant, nous ne sommes pas très éloignés et il sera d’ailleurs à notre université, comme le député UMP de la Drôme Hervé Mariton. Le temps viendra de constituer mon comité de soutien…

La procréation médicalement assistée n’est pas une industrie

Les Jeunes du Parti Chrétien-Démocrate saluent la courageuse tribune de 35 députés de la Majorité et non inscrits publiée le 8 février :  » la procréation médicalement assistée n’est pas une industrie « , (tribune parue dans Valeurs Actuelles, plus bas).

La veille, le comédien Michael Lonsdale avait eu ces paroles fortes : « Au bout du compte, grande serait la tentation pour les chercheurs de jouer « les apprentis sorciers ». La science elle-même en perdrait sa crédibilité. Refuser de faire de la « liberté de la science » un principe absolu, c’est sauver à la fois la liberté et la science ! »

Les jeunes du Parti Chrétien Démocrate dénoncent aussi la désinformation qui accompagne la naissance, le 8 février, du premier bébé-médicament français. Les perspectives d’utilisation du sang de cordon rendent de telles manipulations génétiques encore plus absurdes. Comment justifier la production de 27 embryons, dont 25 détruits ou congelés ? Peut-on instrumentaliser ainsi la vie d’un être humain ?

Ils appellent les députés à la clairvoyance et à la responsabilité.

 

Bioéthique. La révision de la loi débute à l’Assemblée nationale ce 8 février. Dans Valeurs Actuelles.

« La procréation humaine n’est pas une industrie »

Trente-cinq députés de la majorité et non-inscrits appellent à la vigilance sur la loi bioéthique, dont la révision débute ce 8 février, et précisent les quatre points qu’ils entendent voir pris en compte par la nouvelle loi.

Une loi de bioéthique ne peut pas se réduire à une loi sur la recherche. Elle a pour tâche première de protéger les droits fondamentaux des personnes, surtout les plus vulnérables. Or, le projet de loi de bioéthique que l’on nous propose de voter, pour nous, ne répond pas suffisamment à cette obligation morale. Nous voulons notamment redire aujourd’hui, avec la force et la diversité de nos convictions, que la procréation humaine n’est pas un processus industriel qui devrait tendre vers le “zéro défaut” – ce serait là la tentation eugéniste – mais est le fruit de la rencontre d’un homme et d’une femme qui donnent naissance à un nouvel être, sujet de droit et non objet, différent d’eux, confié à leur mission éducatrice mais destiné à s’en séparer et revêtu de sa propre dignité humaine.

Ce principe est souvent partagé par tous, mais les exceptions et dérogations que propose la nouvelle loi sont telles que le principe n’est finalement qu’une apparence derrière laquelle se dissimulent trop d’exceptions. Nous l’avons exprimé lors des réunions de la Commission spéciale chargée d’examiner ce projet et notre vote dépendra de la prise en compte de nos demandes sur quatre sujets.

Ainsi, le projet de loi propose de rendre le diagnostic prénatal systématique en début de grossesse. Ce diagnostic a, dans les faits, comme seul objectif de détecter une éventuelle trisomie 21 sur le futur bébé. En l’état de la recherche, cette anomalie génétique, lorsqu’elle est détectée, n’est pas encore curable. L’examen systématique aboutit donc à un choix dramatique entre l’avortement et un enfant trisomique. Pourquoi faire de cet examen un passage systématique au point de demander la signature d’une décharge en cas de refus de la maman ? Sommes-nous sûrs de l’absolue fiabilité des examens proposés sur une si large population ? Pourquoi n’offrir que l’issue de l’avortement si le diagnostic se révèle positif ? 96 % des mères dont le test se révèle positif sont aujourd’hui conduites à l’avortement. Nous sommes là en plein eugénisme. La société a-t-elle le droit de se défausser à ce point et de laisser les femmes seules sans accompagnement ? La juste attitude serait le financement par l’État d’un véritable plan de recherche sur la trisomie 21 plutôt que d’inciter à son éradication. Nous l’appelons de nos vœux. À l’heure où nous célébrons si souvent la différence, pourquoi est-ce que les enfants et adultes trisomiques n’auraient pas le droit à cette différence ? Seront-ils amenés un jour à s’entendre dire : « Tu n’aurais pas dû naître » ?

La production d’embryons surnuméraires doit aussi être maîtrisée. De quoi s’agit-il ? Lorsqu’il y a fécondation in vitro, le spécialiste organise la fécondation de plusieurs embryons mais ne les implante pas tous. Dans notre pays, les autres embryons sont congelés et stockés ce qui, selon la mission parlementaire, constitue une “transgression première”. Pourquoi ne pas s’inspirer de l’Italie et de l’Allemagne où les fécondations in vitro sont réalisées sans conservation d’embryon ?

Certaines recherches, notamment sur les cellules souches, sont réalisées en France sur les embryons. Le chercheur détruit l’embryon pour extraire ces cellules souches ou utilise des lignées de cellules souches issues d’un embryon préalablement sacrifié. Ces recherches, menées depuis vingt ans, n’ont pas donné de résultats ; tout le monde en convient. Ailleurs dans le monde, des recherches sur les cellules souches sont menées à partir de cellules extraites du cordon ombilical ou d’autres parties du corps, évitant ainsi de détruire l’embryon et de devoir en congeler pour disposer du matériel expérimental. Pourquoi ne pas développer les efforts de la recherche sur ces cellules non embryonnaires qui ne posent pas de problèmes éthiques ? Au contraire, l’atteinte directe à la dignité de l’embryon humain commande le principe d’interdiction des recherches sur celui-ci ou sur les cellules extraites de son corps embryonnaire. Or la loi que l’on nous propose affiche l’apparence de l’interdiction de la recherche sur l’embryon pour, à l’excès, organiser et multiplier les exceptions. L’embryon ne peut être un matériau de laboratoire servant des intérêts économiques et financiers. La France s’honorerait à développer ces méthodes réconciliant l’éthique et la science.

Il faut enfin instituer une bioéthique citoyenne. La loi qu’on nous propose donne une délégation excessive de pouvoir à l’agence de biomédecine, c’est-à-dire aux experts. Nous ne voulons pas d’une technocratie d’experts mais nous voulons une démocratie de citoyens. La responsabilité ultime revient aux représentants du peuple. La procréation humaine n’est pas un processus industriel dont l’efficience est dans les mains d’un “ingénieur Qualité”, quelles que soient ses qualités scientifiques, mais un acte à haute valeur éthique constitutif de la dignité de l’homme. Dans ce domaine, le Parlement est pleinement dans son rôle en exerçant une vigilance sur le respect des droits des personnes et de leurs familles.

Signataires :

Xavier BRETON, député de l’Ain ; Marc LE FUR, député des Côtes-d’Armor, vice-président de l’Assemblée nationale ; Hervé MARITON, député de la Drôme, vice- président de la Commission spéciale Bioéthique ; Philippe MEUNIER, député du Rhône ; Georges COLOMBIER, député de l’Isère ; Jean DIONIS du SÉJOUR, député de Lot-et-Garonne ; Philippe GOSSELIN, député de la Manche ; Jean-Marc NESME, député de Saône-et-Loire ; Jacques REMILLER, député de l’Isère ; Véronique BESSE, député de Vendée ; Etienne BLANC, député de l’Ain ; Jean-Claude BOUCHET, député du Vaucluse ; Chantal BOURRAGUE, député de la Gironde ; Patrice CALMEJANE, député de la Seine-Saint-Denis ; Bernard CARAYON, député du Tarn ; Charles de COURSON, député de la Marne ; Marie-Christine DALLOZ, député du Jura ; Jean-Pierre DECOOL, député du Nord ; Bernard DEPIERRE, député de Côte d’Or ; Cécile DUMOULIN, député des Yvelines ; Nicolas DUPONT-AIGNAN, député de l’Essonne ; Paul DURIEU, député du Vaucluse ; Jean-Michel FERRAND, député du Vaucluse ; André FLAJOLET, député du Pas de Calais ; Jean-Paul GARRAUD, député de Gironde ; Claude GATIGNOL, député de la Manche ; Michel GRALL, député du Morbihan ; Arlette GROSSKOST, député du Haut-Rhin ; Céleste LETT, député de Moselle ; Lionnel LUCA, député des Alpes-Maritimes ; Étienne PINTE, député des Yvelines ; Dominique SOUCHET, député de la Vendée ; Christian VANNESTE, député du Nord ; Isabelle VASSEUR, député de l’Aisne ; Michel VOISIN, député de l’Ain.

Famille : le Parti Chrétien-Démocrate salue la mobilisation massive des députés de la majorité présidentielle

Le Parti Chrétien-Démocrate se réjouit de la parution de la tribune « Où est passée la famille ? », aujourd’hui dans Valeurs actuelles : il salue la pertinence et la profondeur du travail effectué par Hervé Mariton et Marc Le Fur, et se félicite du soutien qui leur a été apporté par de nombreux députés.

800px-Family_jump« A l’occasion de cette tribune, de nombreux parlementaires ont manifesté leur conscience des enjeux fondamentaux liés à la protection de la famille, et leur volonté d’être réellement à l’écoute et au service des attentes profondes des français, souligne Christine Boutin, Présidente du Parti Chrétien-Démocrate : je ne peux que m’en réjouir et les en féliciter ! »

 

« Le PCD est aujourd’hui le seul parti à inscrire dans ses fondamentaux la protection de la famille, pilier de la société et garantie de la cohésion sociale, poursuit-elle. Au lendemain du dernier remaniement, nous avions rappelé ces orientations et relevé, dans un communiqué dont le titre a été repris par cette tribune, la gravité de la disparition d’un ministère en charge de la famille. Nicolas Sarkozy s’était engagé, en 2007, à mettre en place une politique familiale forte : c’est une réelle attente de la part des français, à laquelle il est indispensable de répondre.

J’encourage donc les parlementaires à continuer d’œuvrer pour préserver et promouvoir la famille. Il est indispensable que nous unissions nos forces pour relever les nombreux défis qui se présentent ! »

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Famille : l’appel de 65 députés UMP

Marc Le Fur : « assumons notre politique familiale »

Blog de Marc Le Fur